Concours d’écriture de nouvelles Encrer l’avenir 2020
Du 15 novembre 2019 au 20 février 2020
Cet événement est gratuit
Retour à l'activité Week-end du Printemps des Sciences – Édition 2020
Mise à jour, jeudi 7 mai
Les résultats !
Le jury a tranché, nous connaissons les résultats de notre concours ! Chaque mercredi, depuis 7 semaines, nous avons partagé les nouvelles des lauréats du concours sous forme de livres audio. Vous pouvez retrouver toutes les nouvelles ici.
Publication d’origine
À l’occasion de la vingtième édition du Printemps des Sciences, qui aura pour thème « Et demain ? », l’équipe du MUMONS vous propose un tout nouveau concours d’écriture de nouvelles d’anticipation intitulé Encrer l’avenir. Le concours est destiné aux élèves des écoles du Hainaut, de la quatrième à la sixième secondaire.
À vos plumes ou claviers, plongez-vous dans l’avenir de l’humanité et imaginez de quoi demain sera fait.
Comment participer ?
Le concours consiste en la rédaction d’une nouvelle d’anticipation comportant entre 7000 et 14000 caractères (espaces compris). Le texte doit être envoyé à encrerlavenir@umons.ac.be avant le 20 février 2020 à minuit.
L’UMONS éditera un recueil comportant une sélection des meilleures nouvelles. Chaque lauréat recevra trois exemplaires de ce recueil. La proclamation des résultats aura lieu pendant le week-end du Printemps des Sciences.
Consultez le règlement du concours.
Sources de documentation
Voici quelques liens permettant de comprendre en quoi consiste la science-fiction et plus particulièrement l’anticipation :
La Bibliothèque des Littératures d’Aventures (BiLA) propose un dossier sur Ecrire / Filmer la science-fiction
L’université d’Artois a développé un MOOC autour de la science-fiction. Deux modules sont particulièrement intéressants dans le contexte de la littérature d’anticipation, en voici les liens et retranscriptions en pdf :
– Anticipation & Hard Science : vidéo et retranscription
– Lendemains noirs : vidéo et retranscription
Podcasts :
– Science-fiction : engagez-vous
– La science-fiction, espace d’émancipation ?